Babylone

Un film sur la révolte, la fracture sociale
Babylone est une œuvre urbaine, politique et symbolique.
J’y remplace les figures d’autorité par des robots pour éviter toute stigmatisation : ils incarnent une autorité déshumanisée, froide, systémique — mais aussi des responsables animés par une avidité humaine démesurée et un matérialisme excessif.
Le film racontent nos cicatrices collectives.
Ces réalités illustrent une misère sociale qui franchit les portes des cités et se généralise à (presque) toutes les classes.
Babylone est un appel à l’unité, un hommage à la solidarité, et une tentative de montrer la beauté dans le chaos.